« J’étais la 4ème femme qualifiée en France quand j’ai passé mes classes… très peu résistent, car c’est un métier contraignant physiquement. »
Sans se plaindre, Géraldine déballe son quotidien : un outillage de BTP qu’il faut porter, des tuyaux hydrauliques à tirer et surtout un équipement très lourd sur le dos.